[
Le début]
[Le lieu] [Le
terrain] [Le constructeur-
la rencontre]
[Le
constructeur- la décision] [
Le constructeur-Le début des problèmes]
[Le constructeur-Le début
des problèmes la suite] [Le
constructeur-Le début des problèmes suite et fin] [Le
recours des tiers] [ La Mise
au Point du chantier (MAP) - 1ère partie]
[La MAP- 2ème partie] [La
MAP- 3ème partie] [Document que nous
avons reçu de la SAPO] [La suite des
documents] [ La suite des documents p1 à
4] [La suite des documents p5 à 8] [La
suite des documents p9 à 12] [La
suite des documents p12 à 16] [La
suite de ce document de 16 pages- La réunion] [La
suite de ce document de 16 pages- La réunion 2] [La
branche] [La suite de la réunion
du Lundi 8 décembre 2003] [Délai
de construction] [Les fondations]
[les plans intérieurs]
[Réunion du mardi 2 Mars 2004]
[Période du 3/3/04 au 23/4/04]
[Période du 23/4/04 au 20/06/04]
[
Période du 20/06/04 au 1/09/04] [Période
du 9/09/04 à XXXX] [Liens]
[Album photos]
[Photos des malfaçons]
La
Mise au Point du chantier ou MAP - partie 2
Les
rangs de parpaings- la cerise sur le gâteau... Quoi que ....
Il a ensuite pris les
mesures de niveau et là, le pompon, il nous annonce qu’il
faut au minimum 3 rangs de parpaings en plus pour rester hors-gel. Nous
avons vu le visage du commercial se décomposer et changer de couleur,
un peu comme dans les films. Il s’est détourné et
a allumé une cigarette. Nous sommes dits « ou la, il y a
l’air d’avoir un problème. Nous commencions à
nous sentir mal. Un mauvais pressentiment nous a pris. Et bien, nous ne
nous attendions pas à ça. Il a rajouté quelques instants
après que » ça allait nous coûter environ 457
euros par rangs de parpaings soit environ 3000 francs. Soit une facture
de 1371 euros en plus a digérer (environ 9000 francs.) Et d’autant
plus difficile a digérer que notre commercial avait lourdement
insisté sur le fait que nous n’avions pas besoin de vide
sanitaire !!!
Nous
attendions à tout un tas de chose, mais surtout pas à ça
! Nous nous sommes regardés avec mon mari, nous sentions nos nerfs
se crisper ! Pour l’anecdote, sachez que nous avions arrêter
de fumer depuis 21 mois et je peux vous dire qu’à ce moment
précis de la réunion, vous ne pouvez pas imaginer à
quel point l’envie de cigarette s’est fait sentir. J’ai
eu et mon mari aussi (il me le dira plus tard) une telle poussée
d’adrénaline, qu’il a fallu tout notre bon sens et
un certain travail sur soi pour ne pas soit se fâcher très
fort, soit fumer (tous les anciens fumeurs connaissent ce sentiment. Nous
étions bien conscients qu’à ce moment se fâcher
n’aurait servie à rien. Mais quand même ce fut dur
!A ce moment là, nous ne nous doutions pas de la suite des évènements
!
Le commercial, suite à cela est intervenue dans la conversation
en déclarant au conducteur de travaux « ah oui ! Je ne voyait
pas le terrain aussi en pente ! . Le conducteur lui a répondu que
selon lui le terrain avait une déclivité d’environ
5%.
Nous
avons alors timidement fait remarquer que nous pensions que normalement
les parpaings supplémentaires n’étaient pas à
notre charge, mais le conducteur de travaux nous a rétorqué
que c’était bien à notre charge parce que ce n’était
pas du à la nature du sol.mais à la pente. Nous n’avons
sur le moment rien rajouté a cela. Que voulez-vous que l’on
dise ! C’est le pot de fer contre le pot de terre. Et a ce moment
là nous étions sur de rien (j’avais en effet vaguement
entendu quelque chose à propos du fait que si nous étions
obligés de rajouter des rangs de parpaings ou d’avoir des
fondations spéciales, ce n’était pas à notre
charge mais j’était loin d’en être sur à
ce moment là !) Donc dans le doute ! D’autant plus qu’ils
nous ont présentés ces rangs de parpaings supplémentaires
comme une obligation et une évidence. Nous n’avions pas le
choix ! Que voulez-vous qu’on dise !
Le
conducteur de travaux voyant nos têtes, à recalculé
ses mesures et nous a finalement proposé de nous mettre que 2 rangs
de parpaings supplémentaires. D’après son éminent
avis « ça passerait, ce serai limite mais ça passerait
. Alors, si sa passe !!!
Les
égouts
Mon mari lui a alors montrer les égouts et le regard installé
par la Générale des Eaux. Le conducteur de travaux s’est
alors exclamé devant nous « ah oui, j’ai oublié
de mesurer la profondeur des égouts et du regard ». Nous
avons pensé « Bonjour le professionnalisme ».
Il est donc sorti sur la voie publique pour mesurer
la profondeur et nous a fait remarqué qu’heureusement on
mettait 2 rangs de parpaings supplémentaires parce que non seulement
il y aurait eu un problème de hors-gel mais également un
problème d’écoulement des égouts.
Il
nous a même affirmé que la Générale des Eaux
avait mal fait son travail, qu’elle avait en effet pas fait les
égouts assez profonds , qu’ils auraient du les mettre plus
bas dans la rue.
Nous allons de nouveau faire une petite parenthèse : Le lendemain
de cette affirmation de la part d’un proféssionnel , nous
avons appelé le responsable des travaux de la Générale
des Eaux en lui expliquant ce que nous avait donné comme argument
notre conducteur de travaux. Il était plutôt étonné
mais de bonne fois, l’erreur est humaine. Il est donc l’après-midi
même parti vérifié s’il n’y avait pas
eu d’erreur. Et non, pas d’erreur, le travail avait été
correctement fait !
Il nous a expliqué que d’un point de vue technique la route
étant en pente, s’il m’était les égouts
trop loin dans la rue donc trop bas, il n’y aurait pas assez de
profondeur pour l’écoulement des eaux usées et que
s’il mettait plus haut ce n’est pas 2 rangs de parpaings qu’il
nous faudrait mais bien plus ! (Remarquez, on aurait un sous-sol total
comme ça J ). Le monsieur de la Générale des eaux
nous a même proposé que SAPO l’appelle pour confirmation
s’il y avait le moindre problème.
Quel professionnalisme de la part de ce monsieur qui allie non seulement
compétence mais en plus gentillesse et disponibilité. Bravo
pour la générale des Eaux de Melun. Voilà, fin de
la parenthèse.
La
branche d'arbre !!!
Donc, une fois que notre conducteur de travaux eu terminé de regarder
les égouts, il leva la tête et s’aperçu qu’une
branche d’un arbre situé sur la voie publique gênerai
le passage de la bétonneuse et des poids lourds. Il nous a enjoint
à couper cette branche, et à nous débrouiller mais
pour la couper et pour obtenir les autorisations administratives. Quelle
galère que fut pour nous le problème de cette branche.
Alors
surtout, priez pour que les camions du constructeur ne bousillent pas
la chaussée !!!
Au cours de la suite de la conversation, mon mari
lui a demandé comment ça se passait si un des camions abîmait
la voie publique. Le conducteur de travaux nous a fait croire alors que
c’était à nous de payer une entreprise pour réparer
les dégâts. Il a rajouté (sûrement pour nous
rassurer ) que ça coûtait environ 3811 euros (25 000 francs)
minimum pour réparer.
Nous
avons encore plus fait la tête. Je dois dire qu’à ce
stade de la MAP nous étions extrêmement énervés,
ce qui devait pour nous être un moment de joie, puisque nous devions
finaliser notre rêve en y ajoutant la dernière touche à
l’aide à la base de conseils de professionnels s’est
transformé en cauchemar.
Ça
faisait plus de 2 heures que nous étions sur le terrain, nous avions
terminer la réunion sur le chantier, la suite devait avoir lieu
dans leur bureau à St Fargeau- Ponthierry.
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