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La Mise au Point du chantier ou MAP - partie 2

Les rangs de parpaings- la cerise sur le gâteau... Quoi que ....
Il a ensuite pris les mesures de niveau et là, le pompon, il nous annonce qu’il faut au minimum 3 rangs de parpaings en plus pour rester hors-gel. Nous avons vu le visage du commercial se décomposer et changer de couleur, un peu comme dans les films. Il s’est détourné et a allumé une cigarette. Nous sommes dits « ou la, il y a l’air d’avoir un problème. Nous commencions à nous sentir mal. Un mauvais pressentiment nous a pris. Et bien, nous ne nous attendions pas à ça. Il a rajouté quelques instants après que » ça allait nous coûter environ 457 euros par rangs de parpaings soit environ 3000 francs. Soit une facture de 1371 euros en plus a digérer (environ 9000 francs.) Et d’autant plus difficile a digérer que notre commercial avait lourdement insisté sur le fait que nous n’avions pas besoin de vide
sanitaire !!!

Nous attendions à tout un tas de chose, mais surtout pas à ça ! Nous nous sommes regardés avec mon mari, nous sentions nos nerfs se crisper ! Pour l’anecdote, sachez que nous avions arrêter de fumer depuis 21 mois et je peux vous dire qu’à ce moment précis de la réunion, vous ne pouvez pas imaginer à quel point l’envie de cigarette s’est fait sentir. J’ai eu et mon mari aussi (il me le dira plus tard) une telle poussée d’adrénaline, qu’il a fallu tout notre bon sens et un certain travail sur soi pour ne pas soit se fâcher très fort, soit fumer (tous les anciens fumeurs connaissent ce sentiment. Nous étions bien conscients qu’à ce moment se fâcher n’aurait servie à rien. Mais quand même ce fut dur !A ce moment là, nous ne nous doutions pas de la suite des évènements !


Le commercial, suite à cela est intervenue dans la conversation en déclarant au conducteur de travaux « ah oui ! Je ne voyait pas le terrain aussi en pente ! . Le conducteur lui a répondu que selon lui le terrain avait une déclivité d’environ 5%.

Nous avons alors timidement fait remarquer que nous pensions que normalement les parpaings supplémentaires n’étaient pas à notre charge, mais le conducteur de travaux nous a rétorqué que c’était bien à notre charge parce que ce n’était pas du à la nature du sol.mais à la pente. Nous n’avons sur le moment rien rajouté a cela. Que voulez-vous que l’on dise ! C’est le pot de fer contre le pot de terre. Et a ce moment là nous étions sur de rien (j’avais en effet vaguement entendu quelque chose à propos du fait que si nous étions obligés de rajouter des rangs de parpaings ou d’avoir des fondations spéciales, ce n’était pas à notre charge mais j’était loin d’en être sur à ce moment là !) Donc dans le doute ! D’autant plus qu’ils nous ont présentés ces rangs de parpaings supplémentaires comme une obligation et une évidence. Nous n’avions pas le choix ! Que voulez-vous qu’on dise !

Le conducteur de travaux voyant nos têtes, à recalculé ses mesures et nous a finalement proposé de nous mettre que 2 rangs de parpaings supplémentaires. D’après son éminent avis « ça passerait, ce serai limite mais ça passerait . Alors, si sa passe !!!

Les égouts
Mon mari lui a alors montrer les égouts et le regard installé par la Générale des Eaux. Le conducteur de travaux s’est alors exclamé devant nous « ah oui, j’ai oublié de mesurer la profondeur des égouts et du regard ». Nous avons pensé « Bonjour le professionnalisme ».


Il est donc sorti sur la voie publique pour mesurer la profondeur et nous a fait remarqué qu’heureusement on mettait 2 rangs de parpaings supplémentaires parce que non seulement il y aurait eu un problème de hors-gel mais également un problème d’écoulement des égouts.

Il nous a même affirmé que la Générale des Eaux avait mal fait son travail, qu’elle avait en effet pas fait les égouts assez profonds , qu’ils auraient du les mettre plus bas dans la rue.
Nous allons de nouveau faire une petite parenthèse : Le lendemain de cette affirmation de la part d’un proféssionnel , nous avons appelé le responsable des travaux de la Générale des Eaux en lui expliquant ce que nous avait donné comme argument notre conducteur de travaux. Il était plutôt étonné mais de bonne fois, l’erreur est humaine. Il est donc l’après-midi même parti vérifié s’il n’y avait pas eu d’erreur. Et non, pas d’erreur, le travail avait été correctement fait !
Il nous a expliqué que d’un point de vue technique la route étant en pente, s’il m’était les égouts trop loin dans la rue donc trop bas, il n’y aurait pas assez de profondeur pour l’écoulement des eaux usées et que s’il mettait plus haut ce n’est pas 2 rangs de parpaings qu’il nous faudrait mais bien plus ! (Remarquez, on aurait un sous-sol total comme ça J ). Le monsieur de la Générale des eaux nous a même proposé que SAPO l’appelle pour confirmation s’il y avait le moindre problème.
Quel professionnalisme de la part de ce monsieur qui allie non seulement compétence mais en plus gentillesse et disponibilité. Bravo pour la générale des Eaux de Melun. Voilà, fin de la parenthèse.

La branche d'arbre !!!
Donc, une fois que notre conducteur de travaux eu terminé de regarder les égouts, il leva la tête et s’aperçu qu’une branche d’un arbre situé sur la voie publique gênerai le passage de la bétonneuse et des poids lourds. Il nous a enjoint à couper cette branche, et à nous débrouiller mais pour la couper et pour obtenir les autorisations administratives. Quelle galère que fut pour nous le problème de cette branche.

Alors surtout, priez pour que les camions du constructeur ne bousillent pas la chaussée !!!
Au cours de la suite de la conversation, mon mari lui a demandé comment ça se passait si un des camions abîmait la voie publique. Le conducteur de travaux nous a fait croire alors que c’était à nous de payer une entreprise pour réparer les dégâts. Il a rajouté (sûrement pour nous rassurer ) que ça coûtait environ 3811 euros (25 000 francs) minimum pour réparer.

Nous avons encore plus fait la tête. Je dois dire qu’à ce stade de la MAP nous étions extrêmement énervés, ce qui devait pour nous être un moment de joie, puisque nous devions finaliser notre rêve en y ajoutant la dernière touche à l’aide à la base de conseils de professionnels s’est transformé en cauchemar.

Ça faisait plus de 2 heures que nous étions sur le terrain, nous avions terminer la réunion sur le chantier, la suite devait avoir lieu dans leur bureau à St Fargeau- Ponthierry.

 

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